Psychologie de la femme - Partie I - auto-attribution, les distorsions cognitives, et la dépression

But de cet article

Les objectifs généraux de cet article et l'avenir sont en cours de développement pour accroître la force psychologique des femmes à faire face à des contraintes et des pressions dans leur vie quotidienne. Cet article en particulier est de sensibiliser en particulier les femmes, de comprendre la dépression à partir d'un point de vue multiples facettes, avec "auto-attribution, les distorsions cognitives et dépression» étant le point de vue d'abord examiné dans cette étude. Le résultat est enceinte l'espoir que les connaissances des femmes et des capacités d'adaptation sera renforcée, grâce à une compréhension plus scientifique (documenté base) et empiriques et de sensibilisation.

Les femmes et la dépression

L'auteur aimerait commencer la discussion de ce sujet à l'étude: «La psychologie de la femme: l'auto-attribution, les distorsions cognitives et dépression», avec deux questions. 1) Comment peut-dépression être décrit d'une manière brève? 2) La dépression est une expérience universelle et commune?

Pour répondre à la première question, l'auteur se réfère à Sharf (2000) qui a examiné les doux "des signes de dépression" comme incluant: «tristesse, sentiment d'inutilité, de culpabilité, le retrait social, et la perte de sommeil, l'appétit, le désir sexuel, ou d'intérêt dans les activités ". Il a examiné les graves "des signes de dépression" que l'affichage "élocution lente, la difficulté à rester assis, l'inattention à l'apparence personnelle, et les sentiments envahissants de désespoir, l'anxiété, ainsi que des pensées et sentiments suicidaires".

La réponse à la deuxième question, l'auteur se réfère à Evans et Tait (1991) qui au moment de répondre à leur propre question, de savoir si la dépression était une expérience universelle, cité Seligman (1975), qui a décrit la dépression comme le froid »commun de comportement anormal '. Evans et Tait (1991) a estimé que, la description de Seligman était d'attirer l'attention sur le fait que nous avons tous l'expérience de temps en temps. Ainsi, alors que la dépression peut être vécue soit légèrement ou gravement, la dépression est certainement à la fois universelle et commune. Et il s'agit d'un particulier d'une expérience commune chez les femmes.

Différences entre les sexes dans la dépression

Pourquoi la maladie mentale (dépression) plus fréquente chez les femmes? Weiten et Lloyd (2006) en affirmant que les femmes étaient "deux fois plus susceptibles que les hommes à souffrir de la dépression et l'anxiété ...», a également cité Rosenfield (1999) pour expliquer la «différence des sexes dans la maladie mentale" (dépression). Selon Rosenfield (1999), les femmes semblent diriger leurs «négatives, hostiles, les sentiments anxieux et les conflits" vers l'intérieur contre leur auto, alors, les hommes de les diriger vers l'extérieur - que ce soit contre une autre personne ou contre la société. En bref, sous l'influence de la maladie mentale comme la dépression, les femmes semblent vouloir se faire du mal, tandis que les hommes semblent vouloir blesser les autres. Pourquoi est-ce le cas? L'auteur répondre à cette question dans un prochain article intitulé: «La psychologie de la femme: Auto-Identity", comme le champ d'application de cet article est limitée à l'examen de "l'auto-attribution et la dépression".

Auto-attribution, les distorsions cognitives, et la dépression

L'auteur tient à souligner encore une fois, que l'auto-attribution est l'un des points de vue à travers lequel on peut comprendre la dépression, ce qui revêt de multiples facettes. Par conséquent, les femmes ne devraient pas attribuer tout dans leur vie à l'auto-attribution, n'est pas non plus la dépression tout le temps en raison de négative auto-attribution. Mais tous négatifs auto-attributions, implique une sorte de distorsions cognitives. L'auteur aimerait prochaine décrire le lien entre entre les distorsions cognitives, l'auto-attribution et la dépression. Pour commencer, qui ont d'abord développé la théorie auto-attribution? Et quelle est la théorie de l'auto-attribution?

Théorie de l'attribution auto

Fritz Heider (1958), Edward Jones (1965), Keith Davis (1965) et Harold Kelley (1967), qui étaient tous les psychologues sociaux, étaient responsables de l'élaboration initiale d'auto-attribution théorie. Qu'est-ce que l'auto-attribution? Basé sur des études de Heider (1958); Jones (1965) Davis (1965) et Kelly (1967), auto-attribution peut être comprise comme la perception cognitive des personnes en attribuant les causes du comportement (le sien ou autres) ou les événements trois dimensions de: 1) interne ou externe; 2) stable ou instable et 3) commandable ou incontrôlable.

Interne se réfère à l'emplacement d'une cause du comportement ou un événement à soi-même, que ce soit la disposition, de trait ou de la personnalité d'une personne. Externe fait référence à l'emplacement d'une cause du comportement ou de l'événement externe (en dehors de la disposition, de trait ou de la personnalité d'une personne) des comportements, des événements, la chance ou le hasard. Stable se réfère à un permanent ou un état immuable d'être dans une personne ou un état dans une situation. Instable se réfère à impermanent ou d'un état d'être modifiable dans une personne ou l'état dans une situation. Contrôlable se réfère à avoir le pouvoir sur quelqu'un ou quelque chose, de changer ou de modifier l'état d'être dans une personne ou d'un état dans une situation. Incontrôlable se réfère à ne pas avoir le pouvoir sur quelqu'un ou quelque chose, de changer ou de modifier l'état d'être dans une personne ou d'un état dans une situation. Sur la base de ces trois dimensions, il ya de multiples combinaisons de perceptions cognitives de l'auto-attribution. Les exemples suivants sont destinés à être fictifs scénarios démonstratifs par rapport à deux des combinaisons de perceptions cognitives de l'auto-attribution.

1. Auto-attribution: interne, stable, incontrôlable

Evénement: M. A a une liaison avec Mme B.

Mme A Réponse en fonction de la première combinaison de perceptions cognitives de l'auto-attribution:. Mme A aurait à se reprocher (interne) de l'infidélité de son mari. Elle considère (subjective) de ses déficits physiques et sexuelles en comparaison à Mme B comme un handicap inaltérable (stable). Ainsi, sur la base de ses causes du déficit physiques et sexuelles qui ne pouvaient pas satisfaire M. A, Mme A aurait visualiser les actions de son mari aussi naturellement prévisible (incontrôlables). Quel serait l'impact sur Mme A? La réponse est évidente, la dépression (Riso et al., 2003). Comment peut-Mme A éviter sa dépression d'être à long appelé ou chronique? La réponse se trouve dans le deuxième scénario.

2. Auto-attribution: externe, instable, contrôlable

Evénement: M. A a une liaison avec Mme B.

Réponse de Mme A. selon seconde combinaison des perceptions cognitives de l'auto-attribution: Mme A aurait blâmer Mme B. et son mari (externe) pour leur infidélité. Pourquoi accepter le blâme pour l'auteur d'un méfait? Pourquoi ne pas localiser le blâme où elle est due? Elle afficher (objectivement) ses déficits physiques et sexuelles pour satisfaire M. A, en comparaison à Mme B comme modifiables (instable), fausses ou injustifiées. Déficits physiques et sexuelles sont très subjectives. Ce qui est considéré comme beau et sexy, dans une culture et à une seule personne, peut-être pas la même chose avec l'autre. Il ya toujours une occasion d'améliorer sa beauté et la sexualité. Quoi qu'il en soit une femme doit être rappelé que dans l'infidélité, les conjoints aux fins de rationalisation peut paraître pour les déficits, même quand il n'y a aucune.

Pourquoi faire du bénévolat pour donner des raisons pour les rationalisations d'un conjoint infidèle? Ainsi, elle serait voir les actions de son mari comme inexcusable (contrôlable). M. A a le contrôle sur ses décisions et les actions dans sa liaison avec Mme B, car s'il n'y en a pas, Mme B peut être éventuellement accusé de viol. A été violée par M. A Mme B? Quel serait l'impact sur Mme A? La réponse est évidente, il pourrait y avoir une dépression initiale, mais il ne sera pas à long terme ou chroniques, en particulier, si Mme A se ouvre à un conseiller conjugal. Ensuite, l'auteur aimerait discuter sur les distorsions cognitives trouvés dans la combinaison qui précède premier perceptions cognitives de l'auto-attribution.