samedi 1 décembre 2012

Droit commercial - contrat à prix fixe - absence totale de contrepartie


Le cas de v Mirimskaya Evans et autre [2007] concernait la construction d'une relation contractuelle à prix fixe entre les deux parties. Le demandeur a acheté une maison dans l'ouest de Londres («la Propriété») comme un cadeau d'anniversaire pour son fils. Elle vise à faire rénové et agrandi de sorte qu'il a été terminé au plus haut niveau. Le premier accusé, un promoteur immobilier aspirant et le directeur principal de la société défenderesse d'autre part, a été introduit pour le demandeur comme étant appropriés pour mener à bien les travaux proposés. Après de nombreuses discussions informelles entre eux, il a été convenu que le premier défendeur serait engagé pour effectuer «la première étape» des œuvres proposées.

Les parties ont convenu que le développement de la propriété serait divisée en trois étapes, à savoir, «la première étape», «la première phase» et «phase deux». Il a ensuite été convenu que le premier défendeur commencerait «phase un» des œuvres une fois l'autorisation de planification et d'approbation du contrôle des bâtiments avaient été reçues.

Afin de financer le début des travaux proposés, le demandeur a payé les paiements anticipés deuxième défendeur à l'égard de «la première étape» et «phase un», ainsi que pour les honoraires professionnels.

Malheureusement, par Novembre 2005, le demandeur était devenu préoccupé par le manque de progrès réalisés en ce qui concerne la propriété. Elle a demandé au premier défendeur de rendre compte des sommes qu'il avait reçues et d'expliquer comment ils avaient été dépensés. Elle lui a également informé qu'elle souhaitait que les dispositions nécessaires pour être consignées dans un contrat formel. En outre, elle a refusé de payer une somme supplémentaire de l'argent jusqu'à ce qu'un calendrier des paiements, liés à l'avancement des travaux, a été convenu.

Toutefois, les demandes ont été ignorées, et donc par Mars 2006, les défendeurs ont indiqué qu'ils ne pouvaient pas continuer avec le travail sans paiement supplémentaire, car ils ont été à court de fonds et n'étaient pas prêts à financer le reste du projet eux-mêmes.

Un échange entre les avocats des parties a eu lieu en Avril 2006, dans laquelle chaque partie a fait valoir que l'autre avait résilié le contrat. Le demandeur a intenté une action réclamant de l'argent dont elle a allégué qu'elle avait payé en trop pour les défendeurs. Les principales questions entre les parties suivantes:

§ Que tout contrat (s) avait été conclue entre les parties en ce qui concerne les travaux;

§ Si oui, avec lequel le défendeur du contrat (s) ont été réalisés et leurs conditions;

§ Que l'une des parties était en infraction ou avait répudié le contrat, et

§ Si oui, quels dommages à la partie innocente a droit.

La cour a statué: -

§ Que la preuve, le demandeur avait conclu deux accords contraignants avec le second défendeur à l'égard de «la première étape» et «la première phase» des œuvres. Les termes de ces accords ont été énoncées dans les documents produits par le requérant d'abord et constitués de contrats à prix fixes pour les sommes indiquées sur ces documents. Le demandeur avait accepté de payer les honoraires professionnels encourus par le deuxième accusé à l'égard de la phase de planification à l'achèvement.

§ Pas d'arrangements contractuels ont été réalisés entre le demandeur et le premier défendeur personnellement. Le demandeur avait répudié la fois des accords quand, en Avril 2006, elle avait tort est censé avoir accepté la prétendue violation du second défendeur de contrat comme la répudiation.

§ Le second défendeur n'avait pas été en rupture de contrat en envoyant une lettre de l'avocat en date du 30 Mars 2006. Au contraire, le demandeur avait été en rupture répudiatoire elle-même en omettant de payer les versements dus au titre de la deuxième de chaque contrat.

§ Le second défendeur n'avait pas le droit de récupérer les deux deuxièmes tranches impayées car il avait été un échec total de la contrepartie en ce qui concerne d'entre eux. Toutefois, le deuxième défendeur a le droit de recouvrer des dommages du demandeur en raison de sa répudiation des accords, ce qui représente la perte de profits, qui le second défendeur aurait fait, eu deux accords achevée.

COOPERS RT 2007. Cette note d'information ne fournit pas un énoncé exhaustif ou complet de la loi relative aux questions abordées, ni ne constitue un avis juridique. Il est destiné uniquement à illustrer les questions générales. Conseils juridiques spécialisés devraient toujours être recherché en fonction de circonstances particulières....

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